C'est ainsi que, alors que l'on était sûr d'être sur la
bonne voie, on commence tout à coup à douter.
Plusieurs solutions s'offrent à nous dans ce cas :
- laisser faire le saboteur. Parfois, c'est le seul choix
qu'on entrevoit. Ce n'est pas le choix de la joie mais aucun choix n'est
définitif et on pourra toujours, quand on aura davantage d'énergie, en faire un
différent.
- respirer, se recentrer. Cela peut suffire si c'est un
petit sabotage et que l'on est habitué à les contrer.
- le regarder en face et accepter que cette zone d'inconfort
fasse partie de soi. Si c'est possible, l'aimer (c'est quand même grâce à lui
qu'on avance, non ?!). Et là, pfuit,
comme par magie, il disparaît ! "Ah, ça n'était que ça !"
- consulter un praticien lorsque l'on sent qu'on a besoin d'une
aide bienveillante pour retirer ce caillou de sa chaussure.
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