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mercredi 26 novembre 2014

Bouffées de chaleur, la solution merveilleuse


Je reviens à mes premières amours aujourd’hui avec un article sur le shiatsu.
Il y a peu de temps, j’ai reçu une dame ménopausée à qui son médecin a prescrit des anxiolytiques contre les bouffées de chaleur.
Comme je ne suis pas très « médicaments » pour moi-même, j’ai fait des recherches sur ce genre de produits. J’ai appris que ces produits étaient conseillés en cas de crises d’anxiété et de stress. A priori, pas en cas de bouffées de chaleur. Mais ils ont été efficaces.
J’ai également appris que les effets secondaires des anxiolytiques étaient la somnolence, des troubles de l’équilibre et de la mémoire, et un risque de dépendance.
Moi, personnellement, ça me ferait flipper ! Déjà que je suis accro au chocolat…

Or, il se trouve qu’en shiatsu, on peut travailler sur un méridien merveilleux qui s’appelle Chong Mai, « la mer du sang » (toujours très poétiques, les Chinois), en cas de bouleversements hormonaux.
Je l’ai testé pas plus tard que la semaine dernière sur une jeune fille qui avait des bouffées de chaleur, liées aux changements hormonaux accompagnant la pré-puberté. En une séance, c’était réglé.
Pour la pré-ménopause, évidemment, je ne prétends pas faire des miracles en une séance. Tout simplement parce qu’en général, on arrive à cette période-là de sa vie avec un bagage un peu plus lourd qu’à la puberté. En revanche, je garantis l’absence totale d’effets secondaires ! A moins que mon futon ne vous paraisse tellement confortable que vous ne deveniez accro à l’heure de détente que vous passez dessus… :-)
Et vous savez quoi ? En prime, Chong Mai travaille sur l’oppression thoracique, la boule dans la gorge, le cœur qui palpite… bref, la crise d’anxiété !

Et comme c’est un méridien merveilleux, il est également efficace en cas de règles douloureuses, de grossesse, de suites de couche…
Bon, j’avoue, Chong Mai, c’est mon petit chouchou !

lundi 24 novembre 2014

Mon royaume est une boule à facettes

N.B. : Il faut quand même que je vous précise que tout ce que j’écris sur ce blog est très sérieux, et qu’en même temps, j’écris (presque) toujours en souriant. Ceci pour expliquer le titre, qui est du douzième degré…

Je vis ce que je crée.
Ma situation d’aujourd’hui est le résultat de mes choix passés.
Je suis responsable de ma vie.
Le monde dans lequel je vis est le résultat de mes pensées passées.
Par mes pensées actuelles, je crée le monde dans lequel je vais vivre désormais.

Ça vous fait quoi de lire ça ?
Flippant, un peu, d’un côté, non ? Et d’un autre côté, quelle liberté dans l’ouverture du champ de tous les possibles !!

Cette croyance, j’ai choisi de l’adopter il y a déjà quelques années.
D’un côté, désormais, une partie de ma vie est plus simple : je me gare facilement, j’arrive à l’heure à mes RV, il fait beau quand je vais à la mer, oui, même en Normandie ! (Oooooooh, je rigole !! La plage de Trouville est ma préférée +++)…

Trouville - 28 octobre 2014

D’un autre côté, je suis bien obligée de regarder en face le revers de la médaille : ce qui ne fonctionne pas comme je le voudrais résulte de mes choix, et j’en suis la seule et unique responsable. Argh ! En même temps, c’est un bon panneau indicateur : c’est là qu’est le chantier ! C’est là qu’il va falloir envoyer la lumière.

Bon, ceci posé, je voulais aujourd’hui vous faire part de ma joie à voir changer une partie de mon monde.
La partie qui a trait à ma spontanéité. Toute une histoire chez moi !
Quand j’étais petite et que je vivais dans ma famille, RAS de ce côté-là.
Quand j’ai commencé à sortir de cet écrin (c’est le mot qui est venu tout seul ! Gratitude !), c’est-à-dire quand j’ai commencé à aller chez des copines, ce que je disais faisait bien rigoler leurs parents. Je ne comprenais pas trop pourquoi, mais ça n’était pas déplaisant.
J’entends encore de grands éclats de rire traverser une certaine cuisine icaunaise très chère à mon cœur, et ce souvenir m’est précieux.

Puis j’ai intégré d’autres cercles, cette fois en tant que jeune femme arrivant au bras du fils de la maison. Et là, ça s’est corsé grave !
Un mur s’est élevé devant moi, et dès que j’ouvrais la bouche, ça bombardait à travers les meurtrières. (Je vous le redis, dans ma conception du monde, j'étais responsable et du mur, et des meurtrières ; un problème entre moi et moi, que des gens avec qui j'avais un bout de carte du monde en commun me mettaient gentiment sous le nez - je ne l'ai pas franchement pris comme ça à l'époque...).
Combien de fois j’ai entendu dire à mon sujet, en manière d’excuse (ça, c’était dans le meilleur des cas) : « C’est un problème de ton ; c’est sa façon de parler ».
Du coup, je me suis mise (inconsciemment !) à créer cette réaction tout autour de moi, dans le monde professionnel, dans ma vie sociale, etc, persuadée que j’étais que ma spontanéité était une tare congénitale (après tout, j’en avais bien d’autres !).

Et puis, j’ai travaillé sur moi. J’ai rencontré des gens qui m’ont parlé de cette vision du monde que l’on trouve dans Ho’oponopono et dans d’autres sagesses anciennes. J’ai choisi de l’adopter.

Et voilà comment se passe ma vie aujourd’hui sur le plan de ma spontanéité : (rrrrrrrrrrrrrrrroulement de tambour !)
Jeudi dernier, j’étais en bonne compagnie dans la boutique d’un traiteur et je vois arriver un plateau de loukoums.
Énormes ! Colorés ! Merveilleusement saupoudrés de sucre glace !
A ce moment, j’ai dû ressembler au loup de Tex Avery quand il voit la pin-up et j’ai laissé échapper un « Waow !! » irrépressible. Ce qui a mis ma compagne dans une joie communicative ! Un vent de joie a soufflé dans la boutique ! Merci Cécile !

Mardi, j’ai entendu un sincère et spontané « Aurélie, c’est toujours un bonheur de vous avoir au téléphone ! » Et ce n’était pas de la drague, je te prie de le croire, ami lecteur !

Et puis, pour couronner le tout, je reçois cette réponse d’un ami dans ma boîte mail : « Je me sens de plus en plus touché par la spontanéité si rafraîchissante de tes envois  (…) Je reste abasourdi par l’espèce de tourbillon de vie que tu es (…). Je me délecte donc pleinement de ta vivacité juvénile, sans aucune arrière-pensée, laissant simplement jaillir la joie que cela me procure : merci d’être qui tu es ! ». (Il y a, comme ça, des gens dont la plume me ravit et dont je me demande pourquoi le MONDE entier ne connaît pas leur lumière ! Philippe, je t’embrasse à pleins bras ! Ne sois pas jaloux, ami lecteur, c’est toi que j’aime.)

Alors, attention, je ne suis pas en train de vous dire qu’aujourd’hui tout le monde m’aime ! Je lis encore parfois dans les réactions des gens à qui j’ouvre mon cœur en grand un truc qui ressemble à « ouh là ! C’est quoi cette folle ! ». Mais ce n’est pas grave, car ces gens-là disparaissent désormais très vite de mon monde. Tout simplement parce qu’ils ne cadrent plus. Parce que j’ai accepté ma spontanéité. Tout juste.
Comment j’ai fait ?
Eh bien, disons que changer ma garde-robe m’a bien aidée, mais ça, je vous en parlerai une prochaine fois !

Je vous l’annonce donc, solennellement, mes chers rois et reines, il est possible de passer d’un bombardement fort désagréable au pied d’une forteresse médiévale à la réception de délicates gerbes de fleurs délicieusement parfumées.
Yes ! I did it ! Donc, vous pouvez le faire aussi !

N’oubliez jamais que vous portez une couronne.

P.S. : j’ai écrit cet article il y a quelques jours. En attendant de le publier, il m’est arrivé une chose bizarre : j’ai rencontré des gens plus « cash » que moi !!!! Si, si, je vous assure, ça existe ! J’ai pris ça comme une validation :-)

dimanche 23 novembre 2014

Correction : agissez en suivant vos intuitions !

La nuit, les longues soirées de discussion et les partages sur Facebook portant conseil, je peaufine mon article d'hier, publié dans la spontanéité :
J'ai pris conscience que ce n'est pas quand j'écoute mes intuitions que je suis dans la joie.
Parce que, souvent, je les écoute et je me dis "ah ouais, bonne idée !" et je reste les fesses sur mon canapé, bien au chaud dans mon petit confort.

J'ai pris conscience que ce qui me procure de la joie, c'est quand j'agis en fonction de cette intuition. Quand je ne pense pas seulement à appeler quelqu'un, mais que je l'appelle ; quand je ne pense pas seulement à aller me promener parce que la lumière est belle, mais que je le fais ; quand je ne pense pas seulement à embrasser quelqu'un, mais que je le prends vraiment dans mes bras.

Alors, voilà, moi qui suis entravée dans mon action, au lieu d'essayer de comprendre pourquoi, je lance mon sac par-dessus le mur : je m'engage aujourd'hui à AGIR en suivant mon intuition.
Qu'on se le dise ! :-)

Et merci à ceux qui m'ont soutenue dans cette belle prise de conscience.

samedi 22 novembre 2014

Ecoutez vos intuitions !

Ce n’est ni un ordre, ni un conseil.
En vérité, c’est un cri du cœur !!!
Écoutez-les, même (surtout ?!) si elles vous semblent farfelues.

Avant-hier, un livre me saute aux yeux. Je me demande ce qu’il fait là… Je passe à autre chose.
Le lendemain, en ouvrant ma boîte aux lettres, je découvre une information sur le deuxième livre de l’auteur du livre qui m’avait sauté aux yeux (vous me suivez ?). Forcément, ça m’interpelle !
Et là, mon intuition me dit : « appelle-le ! ».

Ben bien sûr, je vais téléphoner à quelqu’un que je ne connais pas ! Et pour lui dire quoi ? J’avais l’impression d’être dans un dessin animé, vous savez, avec le petit ange et le petit démon, chacun sur une épaule, et qui se renvoient des arguments en ping-pong.
Je décide d’écouter l’ange. J’appelle. Conversation de 2 mn, sympathique, mais je tombe mal. L’auteur me demande de le rappeler plus tard.

Plus tard, évidemment, j’ai des légumes à éplucher, des enfants à préparer, je pars dans 10 mn ça ne vaut pas le coup d’appeler, bref, je ne vous refais pas l’article sur ma petite collection de peurs… et mes deux rigolos qui continuent à se renvoyer la balle sur mes épaules !

Allez ! J’appelle.

Eh bien, le croiriez-vous, en 5 mn j’ai fait la plus belle prise de conscience de ces derniers temps !
En plus, on a bien rigolé, parce que, évidemment, comme je lui dis cash : « Bonjour Monsieur, je vous appelle, mais je ne sais pas pourquoi. », en deux temps trois mouvements, on trouve !

Voilà pourquoi, je vous le dis, à partir de maintenant, je m’engage à écouter mes intuitions. Alors, attention les amis, ma vie va ressembler à un feu d’artifice !!


Et, vous savez quoi ? ça tombe bien : c'est pour ça que je suis là ;-)


Si vous voulez savoir comment écouter votre intuition, je vous conseille vivement la lecture de cet article de Lulumineuse.

Cet article a bénéficié d'une correction : ici.

jeudi 20 novembre 2014

« Je suis la reine du mooooooonde ! »

Voilà l’état dans lequel je me suis retrouvée samedi matin, au moment de partir pour mon concert dans l’Yonne.
Flash-back.

Il y a quelque temps, je me suis rendue compte qu’un phare de la voiture ne fonctionnait plus. J’ai râlé, un peu, parce qu’on les a changé il y a moins d’un an, et que, en fait, ça fait trois fois qu’on les change sur cette voiture, et que, flûte (enfin, dans ma tête, je pense avec des gros mots, mais ici, j’épargne tes chastes oreilles, ami lecteur), je n’ai pas envie de dépenser des sous pour un truc qui est censé fonctionner plus longtemps, non ?! Etc, etc.
Bref, ça a duré un peu. Autour de chez moi, les routes sont éclairées, et puis, je ne sors pas si souvent que ça le soir, et puis, si la police m’arrête, je leur dirai que je ne m’en étais pas rendue compte… Oui, je l’assume, je filais un mauvais coton !
Mais mince, est-ce qu’une reine est censée se préoccuper de ce genre de chose ??!!

Alors, je décide que je le vaux bien et je vais au garage. Le gars me demande de lui laisser la voiture deux heures. Ben bien sûr !
Je finis par acheter l’ampoule et la laisser traîner sur le tableau de bord… On ne sait jamais, des fois qu’elle se changerait toute seule.
Parce que, vous comprenez, j’ai un concert samedi, et changer une ampoule de phare, ça fait mal aux doigts, et si je me blessais, et puis en plus, il pleut, ah et puis maintenant, il fait nuit et pis la neige elle est trop molle pour moi !!!!

Bref, arrive samedi matin. Et la perspective d’un long trajet en voiture, sur l’autoroute, et un retour de nuit. Le dernier moment pour changer l’ampoule, quoi !
Alors je prépare toutes mes affaires, mon pique-nique… je tourne, je vire, j’enrage dans ma voie sans issue.
Et là, j’ai appliqué à la lettre la transmutation de cette formidable énergie qu’est la colère. En deux minutes et sans même jeter un œil au mode d’emploi, j’ai changé l’ampoule du phare. Sans me blesser et presque sans me faire mal aux doigts.

Et voilà comment je me suis sentie « la reine du moooooooooonde ». Là, je me suis sentie dans ma puissance, avec une force inégalée. Et dans une joie !!! J’en riais d’aise (c’est une expression qui m'avait plu quand je l’avais lue ; la ressentir, c’est encore mieux !).
J’ai passé une journée juste extra-ordinaire.



Depuis samedi, j’ai fait d’autres choses que j’appréhendais encore davantage que de changer cette ampoule (oui, j’ai l’air de vous raconter ma vie, ici, mais ce ne sont que des morceaux choisis ! Ah ah ah !). Eh bien, le croiriez-vous, la joie engendrée par le résultat est toujours à la hauteur de la peur qui nous freine à y aller.

C’est vous dire à quel point elle est belle, la vie qui nous attend, mes chers rois et reines !

dimanche 16 novembre 2014

Comment je suis devenue reine

Bon, me revoilà !
L'article était écrit, mais qu'est-ce qu'il a encore fallu lâcher cette semaine !!! Ouh la la !!!
Les couronnes ont tressauté, hein ?!
Comme dit Danielle Clermont, félicitons-nous d'avoir traversé cette nouvelle période de perturbation et d'être encore là.



Je vous avais promis un mode d’emploi. Le voici !
C’est celui qui a fonctionné pour moi. Je vous souhaite qu’il vous inspire pour trouver le vôtre.

1. Je me protège
Si je compte bien, ça doit faire 13 ans que je n’ai plus la télé. Et depuis un an, je n’écoute même plus la radio.
Cela me permet de me protéger, d’une part contre les ondes négatives des mauvaises nouvelles et d’autre part contre les sollicitations commerciales qui sous-entendent : « Tu ne peux pas être heureux si tu n’as pas le dernier machin-truc. Achète-le ! ».
Parfois, à l’occasion d’une conversation, j’apprends qu’untel a rencontré son destin ou que telle peur collective est ressortie. Bon. Je préfère me concentrer sur mon bien-être quotidien, corriger mon aiguillage en écoutant mes émotions et remplacer petit à petit chaque peur que je débusque chez moi par de l’amour. En faisant ceci, je réalise ma part de colibri pour le monde.
Dans le même ordre d’idée, je ne fréquente (presque) plus de gens qui râlent, qui ruminent, qui broient du noir. Eux, de toute façon, je les énervais à voir du positif partout, et moi, ça me fait des vacances !

2. J’aime mon corps, je m’en occupe bien
Elle sonne un peu « pub pour les vétérinaires », cette phrase, mais finalement, combien de gens s’occupent mieux de leur chien que de leur corps…
Bon, je ne peux pas dire si j’ai un jour aimé mon corps. Je sais que j’ai voulu le quitter à deux reprises étant petite, donc ça démarrait plutôt mal.
Je suis née avec une malformation. Après, j’étais trop maigre. Et nulle en gym.
Ensuite, j’étais trop grosse, et toujours aussi nulle en sport.
Encore une fois, c’est la maternité qui a été le déclic. Parce qu’avec un utérus rétro versé (ah ben vous allez avoir du mal à tomber enceinte - tu parles !) et des mamelons soi-disant ombiliqués (ah non, laissez tomber, pour l’allaitement, ça ne va pas aller), j’ai quand même eu trois enfants et allaité sept ans (en tout, hein ! pas chacun !! ah ah ah !). Bon, OK, j’ai un sens certain de la contradiction…
Ce qui a beaucoup contribué à me réconcilier avec mon corps, c’est Sonoslim®. Cette méthode pour retrouver son poids de forme dure un an et fait bien plus qu’elle ne promet.
Et ce qui a couronné le tout (ben, oui, je vous rappelle que c’est un mode d’emploi pour être reine, il faut bien une couronne !), c’est le cycle « Votre garde-robe, de la peau à l’âme », avec Youmna Tarazi. Promis, je vous fais un article là-dessus très bientôt.
A part ça, je me mange pas de pesticides, ni de médicaments. J’ai remarqué que mon corps n’assimile pas bien certains aliments, alors j’essaye de ne pas en manger trop, même si, en ce qui concerne le chocolat au lait, c’est un peu difficile !
Eh oui, je suis une reine, mais une reine humaine !

3. Je considère le monde comme un miroir
Je vis ce que je crée.
Je suis entièrement responsable de tout ce qui m’arrive, les expériences agréables, comme les désagréables.
Si je veux arriver à l’heure quelque part, je pars à l’heure et je focalise mon esprit sur l’idée d’arriver à l’heure. Et, avec l’expérience, je sais que, si ça ne marche pas, c’est que mon inconscient a envoyé, plus fort que ma volonté, le message inverse. Et là, la seule solution, c’est de lâcher l’enjeu qu’on a mis sur l’affaire.
Si le comportement de quelqu’un me gêne, je regarde à quoi ça me renvoie chez moi, et j’essaye d’aimer cette part d’ombre, pour qu’elle reçoive elle aussi sa part de lumière.

4. Je fais ami-ami avec mon mental
Dès qu’on travaille un peu sur soi, on apprend que le mental n’est qu’une partie de nous, qu’on ne se résume pas à cette partie. Ça, c’est une bonne nouvelle !
Le problème, c’est que souvent, on continue avec l’idée que ce mental est un peu notre bête noire. Celle qui nous fait chuter, en inventant des problèmes pour le plaisir de les résoudre.
C’est un point de vue que j’ai adopté à un moment.
Au point où j’en suis aujourd’hui, en tant que reine, je tâche d’aimer tous les sujets de mon royaume, et le mental en est un.
Je commence à mieux cerner ses qualités et ses défauts, je comprends de mieux en mieux son fonctionnement, et j’essaye d’utiliser au mieux ses performances (je suis un homo sapiens de l’ère moderne, tout de même !!).

5. J’ai une vie spirituelle
Alors, ça, c’est la nouveauté !
J’ai reçu dans mon enfance une éducation religieuse qui ne m’a pas transcendée.
Ensuite, j’ai découvert la spiritualité orientale, pour me rendre compte que ce qu’on cherche en Orient, on l’a chez nous depuis longtemps.
Je me forge donc, petit à petit, une spiritualité toute personnelle. Ça aussi, ça a été un appel fort de cette dernière année.
Ce que j’aime à croire, c’est que nous sommes aimés, infiniment, inconditionnellement.
Cette pensée me fait un bien !

6. J’ai trouvé mon lieu « ressource »
Ça, c’est le bonus de cette vie pour moi !
Depuis un an et demi, je suis appelée avec une très grande force par un lieu. Quand j’y vais, j’ai l’impression d’être branchée en courant continu, d’être complètement moi. Ce n’est pas tout près de chez moi, mais je m’offre le voyage quand j’en ressens le besoin.
A chaque fois, j’y fais des rencontres extraordinaires.
Et je reviens rechargée à bloc.



Vous saupoudrez tout cela de bienveillance envers soi-même, de gratitude pour la vie et d’amour, et vous avez la recette !

J’espère que ce mode d’emploi vous inspirera, car je pense que beaucoup d'entre nous aspirent profondément à être une reine ou un roi.
Et vous, quelles sont vos astuces  ?
Vos commentaires et partages sont les bienvenus !
Merci d'avance !