Le perfectionniste voudrait que son chemin de vie aille tout
droit et ne soit pas parsemé d'embûches. Quand il doit se rendre à l'évidence
que ce n'est pas possible, il se trouve très contrarié.
L'optimaliste, quant à lui, sait que l'échec fait partie du
chemin et qu'il est possible d'apprendre de ses erreurs. Il en ressort
d'ailleurs plus fort.
Le perfectionniste remplace la réalité qu'il refuse par un
univers fantasmagorique dans lequel ni l'échec, ni les émotions inconfortables
n'existent. En revanche, l'angoisse d'échouer n'est jamais loin. Et les
émotions douloureuses s'aggravent car la barre est toujours hors de portée.
L'optimaliste, lui, accepte l'évidence : il est inévitable
de souffrir et d'échouer. Cette acceptation de la réalité lui permet de vivre
une vie plus enrichissante, où l'angoisse d'échouer est moins présente. Les
émotions douloureuses, par le simple fait qu'elles sont acceptées, ne sont pas
exacerbées. L'optimaliste les vit pleinement, en tire les leçons et passe à
autre chose. Les buts qu'il se fixe sont à sa portée et il peut ainsi
pleinement en savourer la réussite.
Et vous, de quel côté vous situez-vous ?
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Au fait, et vos gratitudes de la semaine ?
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